Voila ma belle comme promis, voici ce que j'avais fait comme livret pour ma niece. Sachant que c'était sous forme de livret avec des images,et écrit en plus gros. De plus c'est simplifié pour que des enfants puisse comprendre
QUI ÉTAIENT LES AMÉRINDIENS
Les Amérindiens était les premiers habitant de l’Amérique. Il y avait de nombreux peuples, tel que les Sioux, les Cheyennes, les Apaches, les Iroquois et bien d’autre encore. Chaque peuple vivait en harmonie avec la nature, et avait un territoire. Ils avaient tous leur propre chef. Certains peuple comme les sioux était très nombreux et se divisait en plusieurs petits groupe. Formant ainsi plusieurs tribus.
Ils vivaient en harmonie avec la nature, et avaient un grand respect de chaque vie. Celle des animaux, des plantes et des insectes. Pour eux tous ceux qui naissaient sur terre devaient être respectés.
LA NOURRITURE DES AMÉRINDIENS
Les amérindiens étaient de très bon pêcheurs et chasseurs. Ils se nourrissaient essentiellement de bisons. Rien, n’était gaspillé, car même leurs peaux servaient de couvertures, pour faire des tipis, ou bien des vêtements. Leurs cornes et leurs os étaient même utilisés pour la création de bijoux, des outils ou des tipis.
Ils savaient cultiver la terre afin de récolter divers légumes. Le maïs, les haricots, et les courges étaient les trois principales plantes cultivées, mais ils plantaient également des pommes de terre, et des piments.
Comme les amérindiens changeaient d’endroit pour passer l’hiver plus en sécurité. Ils quittaient les plaines et devait donc faire des réserves de nourriture. C’est pour cela qu’il faisait sécher la viande sur des piquets, cela se nomme le pémmican.
LEUR MODE DE VIE
Seuls les peuples nomades (qui ne restait pas vivre au même endroit) vivait dans des tentes appelées tipis. Ces tipis étaient faits avec de longs bâtons qu’ils reliaient entre eux à leur sommet, et qu’ils entouraient de peaux. La plupart du temps c’était des peaux de bisons qu’ils cousaient entre elles, car la peau du bison était très solide et recouvrait une bonne partie du tipi. Ces tentes leurs permettaient de pouvoir transporter leurs maisons partout avec eux, et ainsi de suivre le bison, qui était leur principale source de nourriture.
Les tentes étaient disposées en vastes cercles chez les Indiens des plaines ; l'entrée était orientée à l'est, à l'abri du vent. Leurs tentes étaient chaudes l'hiver et froide l'été ; elles étaient très solides pour résister au vent. Le tipi familial mesurait cinq mètres de haut et cinq mètres de diamètre.
Chaque famille fabriquait et décorait son tipi. Le plus souvent en bas ils dessinaient ce qui représentait la terre. Au milieu ils y dessinaient des choses en rapport avec la vie de tous les jours ou avec leur caractère et leurs envies. Et pour finir, ils dessinaient en haut ce qui était en lien avec le ciel et leur dieu. Ce dieu, les sioux l’appelait « Wakan Tanka » ce qui veut dire « le grand mystère » ou « grand esprit ».
Tipi vient d’ailleurs d’un mot sioux, car c’était surtout les sioux qui vivait dedans, ce mot est composé de deux syllabes. Ti veut dire « vivre » ou « se prélasser », et Pi veut dire « servir à » ou « utilisé ». Tipi veut donc dire utilisé pour y vivre ou pour s’y prélasser.
Les Indiens tapissait l'intérieur du tipi avec de la peau décorée qui empêchait l'eau de couler dans la tente. Monter le tipi était le travail des femmes ; elles devaient dresser les bâtons en forme de triangle et les réunissaient avec une lanière en cuir. La peau était attachée en haut du dernier bâton, comme ça, on pouvait la hisser. Le tipi était fixé au sol par des piquets en os.
Quand il faisait chaud, ils soulevaient le bas de la peau pour que l'air circule. Un écusson de peau était rabattu sur l'ouverture de la porte parfois ornée de l'emblème du propriétaire. Dans les tipis, les Indiens dormaient sur une peau de bison, assis près du feu sur de confortables dossiers de bois. Ils stockaient la nourriture, les médicaments et les vêtements dans des sacs décorés. Quand le tipi était ouvert, les visiteurs pouvaient entrer, les hommes, les premiers et allaient à droite de leur hôte. Seuls les hommes s'asseyaient les jambes croisées. Les invités devaient apporter leur bol et leur cuillère pour manger. Quand le tipi était fermé les visiteurs ne pouvaient pas entrer et devaient repartir chez eux.
Tous les tipis formaient un village pouvant être d’une vingtaine de famille. Au centre de celui-ci, ils y laissaient la place, afin d’y réaliser un grand feu lors de leur fêtes ou d’évènements sacré. Ils aimaient beaucoup chanter et danser surtout lorsque ils revenaient de la chasse, et souhaitait fêter leur retour et remercier la mère nature de leur avoir permis de pouvoir nourrir la tribu.
Dans chaque village, chacun avait une tâche particulière. Les femmes devaient semer les graines qui leur permettraient d’avoir des légumes, elles s’occupaient des champs et de la récolte. Elles réalisaient des sortes de sachet afin de mieux conserver la nourriture, car il fallait tenir tout l’hiver.
Ce sont elles aussi qui tannaient les peaux des bêtes afin de réaliser, les vêtements, mocassins, bijoux, tambours… Elles s’occupaient également de l’éducation des enfants.
Les femmes étaient très respectées, et c’était même la plus ancienne des femmes qui choisissait le nouveau chef de la tribu.
Les hommes quant à eux, étaient de valeureux guerriers et de très bon chasseur. Ils se devaient de protéger et nourrir leur peuple. Ils partaient en forêt pour cueillir des fruits, des baies ou tout type de végétaux, le plus souvent ils commençaient en automne afin de faire des réserves de provisions pour l’hiver.
Les enfants quant à eux, jouaient et recevaient les enseignements des anciens. Les femmes avaient pour but de leur apprendre le respect de toutes choses.
Les amérindiens vivaient avec les saisons (printemps, été, automne, hiver). A chaque saison il y avait divers tâches à effectuer. Dans un premier temps, il y avait la chasse, car le bison ne restait dans les plaines qu’un certain temps. Dans un second temps, la semence des légumes, puis la cueillette.
LES PLUMES
Les amérindiens décoraient souvent les objets avec des plumes. Ils en mettaient même dans leurs cheveux, ou sur des coiffes, afin de montrer leur grandeur.
Plus un homme portait de plume, plus il était respecté, car porter une plume montrait qu’il avait fait preuve de courage. Seuls les grands chefs étaient autorisés à porter de grandes coiffes ornées de plumes, car elles montraient son autorité.
Les plumes, pour les Amérindiens sont un langage. Selon leurs nombres, leurs couleurs, leurs formes et leurs positions sur la coiffe, cela avait une signification particulière. Quand quelqu’un recevait une plume, c’est qu’il avait fait un acte de bravoure et devait être récompensé.
Pour les grandes coiffes, ils utilisaient souvent les plumes des queues des plus d’oiseaux de proie, tel que l’aigle et le faucon. Ces oiseaux étaient pour eux relié au Wakan Tanka, et formait un lien entre le ciel et la terre.
D’après eux, ces oiseaux sont synonymes de puissance, et porter leurs plumes était un moyen de s’approprier cette puissance. Ce n’était pas pour dominer la nature, mais simplement pour ne faire qu’un avec elle.
Les plumes d’aigles, sont sacré chez les sioux, et symbolise la paix.
LES HOMMES OU FEMMES MEDECINE
Les hommes et femmes médecine était appelé ainsi car on venait les voir pour tout type de maux, il était le médecin du village. Chaque tribu avait son homme ou femme médecine, appelé aussi Chaman. Le chaman avait la connaissance des plantes, et était capable de guérir un malade en concoctant un remède.
Le chaman était aussi considéré comme un sorcier, un druide, car il était capable de communiquer avec les esprits afin de guérir une maladie de l’âme ou du corps.
Certaine légende disent que les chamans étaient capable de se transformer en animaux afin d’acquérir la capacité de l’animal.
LES SACS MEDECINE
Chaque personne, et chaque famille avait un sac médecine, dans lequel ils y mettaient toute sorte de chose afin de les protéger. Ce pouvait être des plantes, des cailloux ou des objets qu’ils aimaient. Ils le portaient autour du cou ou l’accrochaient à leurs pantalons.
Le sac médecine de la famille devait être remit de génération en génération, et ne devait pas être ouvert, car ils laisseraient s’échapper leur protection. Il devait aussi le faire suivre avec eux à chaque déplacement. Le sac médecine familial était bien plus gros et devait toujours rester dans le tipi.
LA LEGENDE DU CAPTEUR DE REVE
Tissé un peu comme une toile d’araignée, le capteur de rêve a pour fonction de capturer tous les rêves.
La légende veut que les rêves traversent la toile, les bons rêves traverse la toile et se dirige vers les plumes et ressortent pour rester dans la chambre (ou dans la pièce où ils dormaient). Les mauvais rêves sont quant à eux retenu par la pierre qui se situe au milieu de la toile jusqu’au lever du soleil, et les mauvais rêves sont ainsi brûlé aux premiers rayons de lumière.
Ils sont généralement de forme ronde pour représenter le soleil, et ont été créés au départ pour empêcher les cauchemars de venir troubler les enfants qui dormaient.
Légende : Aux temps anciens, les animaux parlaient aux hommes. Une vieille grand-mère, vivait dans son tipi et entretenait de bonne relation avec Iktomi, une araignée qui avait élue domicile en haut du tipi, et construit une immense toile. A chaque fois que les enfants venaient rendre visite à la grand-mère, celle-ci devait leur interdire de toucher à la toile d’Iktomi, car c’était la maison de l’araignée. Un jour, Iktomi devait quitter le tipi, et elle s’adressa à la grand-mère. Elle la remercia d’avoir protégé sa maison aussi longtemps et lui dit :
« Pour te remercier, je vais te faire cadeau de ma toile, qui va t’aider à piéger les mauvais rêves. Ils seront attrapés au centre de ma toile et brûlés aux rayons du soleil.
Ajoutes des plumes, symboles des oiseaux qui lient le monde des hommes et le monde des esprits, et les bon rêves redescendront pour les plumes pour aider le rêveur ».
QUELQUES MOTS LAKOTA (SIOUX)
Mots :
Merci : Pilamaya
Oui : Han
Non : Hiya
Bonjour: Hinhanni wasté (hinhanni wachité)
Au revoir : Toksa akhe (toksha akéo)
Les animaux :
Ours : Mato
Oiseau : Zintkala
Chat : Igmu (igmou)
Chien : Shunka (chounka)
Cheval : Sunkawakan (chounkawakane)
Lapin : Mastincala (machtinechala)
Les nombres :
1 : Wanzi (wanchi)
2 : Nunpa (nounepa)
3 : Yamni (Yaamni)
4 : Topa (topa)
5 : Zaptan (prononcer « an » et pas « ane »)
6 : Sakpe (chakpé)
7 : Sakowin (chakowine)
8 : Saglogan (chalgloran (le « r » comme le « j » espagnol)
9 : napcinyunka (napchiyunka)
10 : Wikcemna (wiktchemna)